Punch Power SpeedTonic & SpeedOx : deux alliés pour prolonger la saison

Septembre marque toujours un tournant dans la saison. Le gros de l’été est derrière nous, le calendrier des compétitions sur route s’allège, et il ne reste que quelques occasions de se frotter au peloton avant d’envisager la coupure… ou, pour les plus gourmands, de basculer sur le cyclo-cross ou même la course à pied. Quelle que soit la suite, la rentrée est un moment charnière où l’on veut profiter de la forme accumulée, mais sans la gaspiller. C’est précisément dans ce contexte que nous avons testé, sur des séances intenses comme sur une course de 2 heures menée à vive allure — avec une moyenne cardiaque proche des 90 % de la FCM — deux gels de la gamme Punch Power : le SpeedTonic et le SpeedOx. Autant dire un terrain parfait pour voir ce qu’ils avaient dans le ventre : à ce niveau d’intensité, inutile d’espérer mâcher une barre ou digérer un aliment solide. Tout se joue sur la facilité d’absorption, la digestibilité et l’efficacité immédiate.

Par Jeff Tatard – Photos : ©3bikes.fr

SpeedTonic : le coup de fouet intelligent

Le SpeedTonic, saveur citron, joue son rôle sans détour : apporter un vrai soutien quand la concentration baisse et que les jambes commencent à perdre de leur répondant. Sa texture fluide et son format minimaliste le rendent facile à prendre en plein effort, et son apport en glucides rapides associés au guarana réveille sans provoquer de pic brutal. Ce n’est pas un coup de fouet artificiel, mais une relance nette, qui remet de la lucidité et de la force exactement quand il faut.

Sur nos sorties de rentrée, il a trouvé naturellement sa place dans les moments charnières. Pas besoin d’en rajouter : il fait le job, puis s’efface. Et c’est sans doute la meilleure qualité d’un gel efficace : être là quand on en a besoin, puis disparaître pour laisser toute la place à l’effort.

SpeedOx : l’endurance protégée

À l’inverse, le SpeedOx (saveur fruits rouges) joue sur la durée. Sa spécificité, c’est l’apport antioxydant via la vitamine C naturelle et les polyphénols du marc de raisin. En clair, il protège l’organisme contre le stress oxydatif généré par l’effort intense, tout en fournissant des glucides d’assimilation progressive.

Résultat : il s’intègre parfaitement dans une course longue où la fatigue musculaire et nerveuse s’accumule. Le ressenti est clair : une énergie régulière, sans lourdeur, sans sucré écœurant, et surtout une digestion également totalement transparente.

Un format qui change la donne

La vraie surprise, c’est aussi le format. Ces gels sont petits — bien plus que les poches habituelles de 60 ou 80 g auxquelles beaucoup sont habitués. Ici, on est sur un format qu’on va appeler « format fusée » compact, à glisser dans une poche de maillot sans se poser de question.

Les avantages :

• Plus faciles à transporter, même quand on part léger.
• Plus rapides à avaler, ce qui compte quand on est déjà à bloc et qu’on peine à respirer.
• Moins écœurants, puisque la dose est calibrée pour être avalée d’un coup.

Les inconvénients :

• Une contenance plus réduite oblige à en prévoir plusieurs pour une sortie longue.
• Pas toujours le plus économique comparé aux gros formats.

En pratique, ce format se révèle très adapté aux compétitions courtes et intenses, ou quand il faut prendre rapidement quelque chose sans perdre de temps. À l’inverse, sur des épreuves très longues (ultra, granfondo), on préfèrera peut-être mixer avec des formats plus généreux pour ne pas multiplier les tubes.

Quand utiliser l’un ou l’autre ?

• SpeedTonic : parfait au départ, avant une côte ou à un moment que vous définirez comme un moment stratégique. Son effet stimulant est net, il aide à rester lucide et à garder de la puissance quand la fatigue menace.
• SpeedOx : idéal en milieu ou en fin d’épreuve, quand il faut tenir un rythme élevé et prolongé, en limitant le stress oxydatif et la fatigue musculaire.

Notre avis

Selon nous l’alternance entre le SpeedTonic et le SpeedOx a une vraie logique de compétiteur. Le premier sert à réveiller le système, à retrouver de la tonicité et de la lucidité dans les phases intenses ou stratégiques. Le second permet ensuite de stabiliser l’énergie, de limiter le stress oxydatif et de soutenir un effort régulier sans créer de lourdeur digestive.

C’est exactement la stratégie que nous avons appliquée lors de notre course de rentrée : partir sur un SpeedTonic au moment opportun, puis basculer sur un SpeedOx quand l’allure s’est fixée à un niveau élevé. Le constat est clair : aucune baisse de régime, zéro inconfort digestif, et une allure parfaitement tenue jusqu’à l’arrivée.

Au-delà du ressenti immédiat, cela confirme que ces deux produits trouvent chacun leur rôle spécifique. Le SpeedTonic pour l’impact, le SpeedOx pour la durée. Et c’est sans doute là leur véritable intérêt : utilisés intelligemment, ils ne se superposent pas, ils se complètent.

Pourquoi ils trouvent leur place en septembre

La rentrée n’est pas seulement une transition : c’est souvent le moment où l’on veut capitaliser sur la forme estivale. Pour aller chercher une dernière performance, un dernier bon résultat, conserver une dynamique en cyclo-cross, ou tenter un défi en course à pied, la gestion de l’énergie devient cruciale.

Et c’est exactement dans ce rôle que le SpeedTonic et le SpeedOx s’imposent : des gels qui respectent le corps, qui accompagnent l’effort sans créer d’à-coups, et qui permettent de prolonger la saison dans les meilleures conditions.

Dans une fin de saison où les occasions de briller se comptent sur les doigts d’une main, il faut savoir miser sur les bons leviers. SpeedTonic et SpeedOx se complètent parfaitement : le premier pour redonner de la vivacité quand la pente ou l’intensité menacent, le second pour stabiliser l’allure et préserver le corps quand l’effort s’installe.

Bio, digestes et simples à utiliser, ils s’intègrent sans effort dans la routine du compétiteur moderne. Que ce soit pour finir fort sur route, trouver un relais dans les labours du cyclo-cross, ou prolonger l’aventure en course à pied, ce duo discret mais efficace tient sa place, et fait exactement ce qu’on attend de lui.

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