La Transju’Cyclo revient les 6 et 7 septembre 2025

Pour sa 4^e édition, La Transju’Cyclo reprend ses quartiers à Champagnole pour le week-end des 6 et 7 septembre 2025. Cette année, tous les parcours apportent leur lots de nouveautés. Du Jura au Doubs, de 1 000 à 3 700 mètres de dénivelés positifs, les concurrents adaptent leur parcours selon leur envie, motivation et condition physique. Et cette année, les participants pourront compter sur les conseils avisés de l’ambassadeur de La Transju’Cyclo, Jérôme Coppel.

Source : CP – Photos : © Marika Godin / Transju’Cyclo

« Je suis un ancien skieur, donc pour moi La Transjurassienne en ski, c’était le mythe. Et quand, elle a été déclinée en version trail et cyclisme, j’ai trouvé ça vraiment incroyable parce que ça faisait vraiment partie de l’histoire de la région. C’est super que cette marque puisse être dupliquée aux coureurs à pied ou aux cyclistes. Quand j’ai été contacté pour être ambassadeur de La Transju’Cyclo, j’étais ultra fier parce que ça reste mon sport de prédilection après le ski de fond. Je suis très content de faire partie de cette aventure. », Jérôme Coppel, ambassadeur de La Transju’Cyclo.

De nouveaux parcours pour la 4^e édition

Les parcours élaborés par Antoine Gérard, directeur de course, sont d’ores et déjà bouclés : « C’est la 4^e année que je travaille sur La Transju’Cylo et ma première en tant que Directeur de course. Je commence à avoir un petit peu plus de recul. Avec La Transju’Cyclo, on a une possibilité de parcours assez variée. Cette année, on a changé les parcours, on les a fait un peu évoluer avec comme priorité la sécurité des coureurs, car la route n’est pas fermée. Il faut donc que les participants soient sereins. On cherche aussi des tracés intéressants. Cette année, on a travaillé sur des parcours polyvalents, c’est-à-dire qui sont agréables pour les coureurs, qui sont en toute sécurité et qui, en plus font découvrir le Jura et le Doubs. Les parcours sont bouclés, tout est mis en place, sauf changement de dernière minute. La Transju’Cyclo fait découvrir les Montagnes du Jura, les départements du Jura et du Doubs. »

L’épreuve reine, la 160 km – D+ 2 000 m

Cette épreuve est inscrite au Trophée Label d’Or de la Fédération Française de Cyclisme, un label qui rassemble une sélection des plus belles courses cyclosportives tout au long de l’année, des courses, destinées aux cyclistes amateurs, qui se déroulent à travers toute la France.

Pour cette 4^e édition, le début du parcours, commun à la 110km, commence par une montée exigeante de Syam à Crans, jusqu’au massif de la Haute-Joux. Après une première ascension marquée par le col de Saint-Sorlin, la descente technique emmène les cyclistes jusqu’à Mouthe. Ensuite, les plus aguerris qui continuent sur ce long tracé filent vers Rochejean, les impressionnantes gorges du Fourperet, le col de la République, la Rivière-Drugeon, la forêt de Maublin et le col de Chalamont avant de redescendre vers les tourbières et étangs de Frasne. La partie finale, commune aux deux parcours (110 et 170 km), offre une traversée atypique au cœur de la scierie de Jura Pellets (partenaire de La Transju’Cyclo), un passage par la cité médiévale de Nozeroy, avant de rejoindre l’arrivée finale à Champagnole.

L’épreuve des 110 km – D+ 1 500 m

Le début du parcours est commun à la 160km, c’est après Rochejean, que les parcours se séparent, avec un itinéraire plus direct pour le 110 km avec l’ascension du col du Lancier. Puis les coureurs rejoignent le parcours du 70 km à Mignovillard avant de rejoindre la fin de parcours commune à tous.

Jérôme Coppel envisage de participer à la 110 km et explique son rôle d’ambassadeur : « Je pense que si j’arrive à me réentraîner au mois d’août. Ce que je veux, c’est aller rencontrer des gens, discuter, de les aider à terminer dans un bon état. Ca reste toujours dans cette idée de partage avec des amis ou des gens qui sont autour en leur donnant des conseils pendant la course, même des gens que je ne connais pas forcément, que ce soit sur l’alimentation, l’hydratation, les trajectoires, les descentes, etc. en partageant un peu mon expérience. Pour moi, un ambassadeur, c’est ça. ». Les concurrents pourront donc compter sur les conseils avisés d’un professionnel afin de vivre La Transju’Cyclo avec plaisir, partage et convivialité.

L’épreuve 70 km et la Rando 70 km  – D+ 1 000 m

À l’image des deux grandes distances, sur les deux parcours de 70 km, le principe reste le même : plaisir, découverte et le goût de l’effort. Les 30 premiers kilomètres suivent le même itinéraire que les grands parcours, avec une montée exigeante en direction du massif de la Haute-Joux. C’est à ce niveau que s’effectue la séparation avec les 110 et 160 km. Ensuite, le tracé est plus doux, longeant une jolie forêt jusqu’à Mignovillard, pour rejoindre les deux grands parcours pour les 50 derniers kilomètres. Ces formats restent accessibles mais riches en découvertes et idéal pour tous les amoureux du cyclisme et des paysages jurassiens.

La rando itinérante 230 km – D+ 3 700 m

L’itinérante, c’est le format week-end de la Transju’Cyclo avec une distance de 230 km sur 2 jours. Le principe est l’itinérance. Les cyclistes ont une trace GPS à suivre qui les mène à travers les magnifiques routes et paysages au pieds des Montagnes du Jura. Entre monuments historiques, forêts d’Épicéas et plaines, ce parcours a été pensé pour faire découvrir aux concurrents les richesses du patrimoine de la région.

La Cyclo’kids

Les enfants ont aussi le droit à leur course à la Transju’Cyclo. Agés de 3 à 8 ans, ils s’élancent au guidon de leur draisienne ou vélo sur un petit parcours avec des virages. La Cyclo’Kids est une épreuve de découverte et de plaisir. Les enfants ne sont pas classés mais recevrons des lots et un beau goûter.

Ils ont dit

Jérôme Coppel, ambassadeur de La Transju’Cylo : « C’est une très belle cyclo sportive, très bien organisée, qui n’a rien à envier aux plus grandes cyclos sportives. Elle reste à taille humaine et familiale. J’aime bien l’idée de pouvoir partir sur un parcours avec la possibilité de couper si on est moins bien ou si on est dans un mauvais jour et que ça ne va pas passer avec les barrières horaires, etc. J’aime bien aussi que ça ne soit pas une cyclo sportive qui soit trop dure, même si sur le grand parcours, il y a 2 000 mètres de dénivelé positif. Ça reste vraiment accessible au plus grand nombre. Et pour moi, le vélo, c’est ça. C’est que ça soit déjà fait dans une ambiance conviviale et que ça soit accessible au plus grand nombre. Le vélo, c’est un sport d’évasion. On doit voir du paysage.
Et tout le monde a eu un vélo chez lui quand il était petit. Tout le monde sait faire du vélo. Donc, c’est quand même le sport normalement le plus accessible. »

Antoine Gérard, Directeur de course : « C’est une fierté d’avoir un ambassadeur comme Jérôme Coppel parce qu’on sait que c’est quelqu’un qui connaît très bien le milieu du vélo, qui a eu des très grands résultats et une belle carrière sportive en cyclisme. Et je sais qu’il souhaite partager son expérience avec des passionnés de vélo et ça c’est super pour nous organisateur. C’est l’esprit Transju’. »

Toutes les infos : www.latransju.com

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