Les critères pour choisir un bon vélo de route électrique

Pour la deuxième partie de notre dossier consacré au vélo assisté et après en avoir énuméré les avantages, voyons quelles sont les différentes technologies proposées, avec une question qui revient en permanence : quel est le meilleur moteur pour un e-Road bike ou vélo de route à assistance électrique ? Vous retrouverez aussi notre sélection de trois modèles déclinés en plusieurs versions, choisis pour leur poids, leur allure et leur comportement, très proches d’un vélo classique.

Par Jean-Yves Couput – Photos : @3bikes.fr / BH / Orbea / Cannondale

=> VOIR AUSSI : Les avantages du vélo de route électrique

Fût un temps ou Bosch sonnait un peu comme frigidaire ou mobylette. Ne voyez dans cette dernière allusion aucune malice, je ne tiens ni à faire l’apologie du vélomoteur, ni à jeter un coup de froid. Le terme générique était quand même à deux doigts d’être gagné. Puis la concurrence est arrivée, avec deux atouts majeurs dans la manche, la compacité et le poids, juste ce qu’il fallait pour maquiller le subterfuge de l’assistance et faire en sorte que le bénéficiaire (ou tricheur pour certains réfractaires) ressemble plus à un “vrai” cycliste. Rapidement, le paysage des motorisations s’est élargi et nous nous sommes retrouvés avec deux camps distincts, les poids plumes et les poids lourds. Sur le côté droit du ring, Bosh, Shimano, Polini, Bafang, de l’autre côté, E-bike Motion, et surtout Fazua, rapidement rejoints pour renforcer la catégorie des “plumes” par Specialized et plus récemment par BH.

Les moteurs placés dans le moyeux arrière sont très discrets.

Les paramètres à prendre en compte

Dans une motorisation de VAE, et pour ne pas trop compliquer les choses, il y a quelques paramètres importants à considerer : le type de moteur, le nombre de modes d’assistance, le couple, le niveau d’assistance maximum, la capacité de la batterie, le bruit généré par le moteur, le type de batterie, le découplage du moteur, et la cadence de fonctionnement optimal. Bon OK, on est déjà dans le compliqué là… Alors, je vous propose de faire plus simple.

Qu’est ce qui fait un bon moteur pour un cycliste qui veut un peu d’aide au pédalage ?

1. L’assistance :

Généralement, trois modes sont à la disposition du cycliste que nous qualifierons avec les noms de baptême génériques d’Eco, Sport et Turbo. Ces noms parlent d’eux-mêmes et correspondent au niveau d’assistance (puissance additionnelle à celle fournie par le cycliste) apportée par le moteur. Certains modèles sont sophistiqués et possèdent des capteurs de puissance. Bien entendu, la puissance fournie a des conséquences sur l’autonomie de la batterie et donc la distance ou le dénivelé que vous pourrez parcourir en une seule charge.

Un bouton permet de régler le niveau d’assistance en roulant.

La cadence est un facteur important de l’efficacité du moteur, et nombre de cyclistes n’ont pas conscience de la façon optimale de pédaler avec un moteur électrique. Pour la plupart d’entre eux, cette cadence se situe entre 75 et 100 tours de pédale par minute, renseignez-vous donc avant de faire votre choix, car si vous n’êtes pas un cycliste expérimenté, il est parfois compliqué de tenir des cadences de 85/90 tours par minute, notamment dans les ascensions. Du moins cela nécessite quelques adaptations. En cela, le E-bike Motion est plus permissif que la plupart des autres. 

Dernier point enfin, la législation limite la vitesse d’un vélo à assistance électrique à 25 km/h (+/- 10%). Certains moteurs permettent une transition presque transparente alors que d’autres ne sont pas aussi subtils. Ce critère joue beaucoup dans le ressenti “naturel” de l’assistance et les champions en la matière sont Specialized et Fazua. 

=> VOIR AUSSI : Débrider un vélo électrique désormais passible d’un an de prison

ORBEA GAIN : Une gamme très complète

Avec le nouveau moteur E-Bike Motion X35 Plus, le nouvel Orbea Gain propose une assistance souple, équilibrée et fiable, suffisante selon les modes choisis afin d’améliorer votre sortie, mais sans faire tout le travail. La marque a appliqué un nouvel algorithme pour l’assistance, afin de rendre le comportement du vélo le plus naturel possible, et surtout proposer une transition presque invisible lorsqu’elle se coupe, autour de 25 km/h. La batterie peut être portée à 456 W/h avec une batterie additionnelle. Avec son intégration parfaite, et même un judicieux système d’éclairage diurne intégré et discret à l’avant et à l’arrière, le Gain pèse entre 11,6 et 12,6 kg pour les modèles carbone, au sein d’une gamme qui comporte en tout 12 vélos.

Gain M10i – Shimano Dura-Ace Di2 – Roues Orbea OC2 Carbon 42 mm : 8999 €
Gain M20i – Shimano Ultegra Di2 – Roues Orbea OC2 Carbon 42 mm : 5999 €
Gain M20 – Shimano Ultegra – Roues Fulcrum E-Racing 900 : 4699 €
Gain M20 1X – Shimano GRX RX810 mono plateau – Roues Fulcrum E-Racing 900 : 4599 €
Gain M20 F – Shimano Ultegra – Guidon plat – Roues Fulcrum E-Racing 900 : 4599 €
Gain M30 – Shimano 105 – Roues Fulcrum E-Racing 900 : 3999 €
Gain M30 1X – Shimano GRX RX600 mono plateau – Roues Fulcrum E-Racing 900 : 3999 €
Gain M30 F – Shimano 105 – Guidon plat – Roues Fulcrum E-Racing 900 : 3999 €
Gain D30 – Cadre alu – Shimano 105 – Roues Ready GR : 3299 €
Gain D40 – Cadre alu – Shimano Tiagra – Roues Ready GR : 2899 €
Gain D50 – Cadre alu – Shimano Tiagra – Roues Ready GR : 2499 €

Contact : orbea.com/Gain


2.
Le poids général du vélo :

Dans ce domaine, une marque tient le haut du pavé, il s’agit de E-bike Motion, dont le moteur est logé dans le moyeu de la roue arrière et qui détient le record de légèreté, puisque des vélo équipés de cette motorisation naviguent (pour ceux dotés d’un équipement haut de gamme) entre 10 et 11 kg. Oui, oui, vous avez bien lu. Au siècle dernier, ces vélos n’auraient pas été ridicules face à des machines 100 % musculaires.

Le moteur n’est pas le seul responsable du poids, la batterie joue un rôle très important de ce point de vue aussi, c’est pour cette raison que les capacités des batteries sont généralement limitées et ne dépassent que rarement les 250 w/h, même si la plupart des systèmes permettent de remplacer celle-ci par une batterie de rechange (mais sac à dos obligatoire et cela ne fait pas très “cycliste”) ou d’assister la batterie principale lorsque cette dernière n’est pas amovible par une batterie qui se loge dans un bidon et se connecte au système par câble.

Pour conclure, si vous faites partie des cyclistes qui ne veulent une assistance que pour un coup de main lors des ascensions et désirant pédaler sans assistance dans les faux-plats ou sur le plat, fuyez les machines au-dessus de 15 kg, car elles vous obligeront à laisser le moteur en permanence actif.

3. Le comportement dynamique du vélo :

Vous êtes cycliste de longue date, et avez un bon coup de guidon, comme on dit dans le jargon du métier. Vous aimez un vélo sain, qui même si victime d’un peu d’inertie, ne vous donne pas l’impression de faire une séance d’haltères pour le balancer de droite à gauche lorsque vous relancez ou vous lorsque vous vous mettez en danseuse. Pas plus que vous ne voulez rattraper des trajectoires “aléatoires” en descente sinueuse. Il est donc important dans ces conditions de choisir une machine dont le centre de gravité sera placé assez bas et central pour obtenir ce comportement et ce pilotage naturel. À masse équivalente entre deux vélos, celui dont le poids de l’ensemble moteur-batterie sera centré autour de la boite de pédalier aura la meilleure agilité. Pour juger et comparer, si vous n’avez pas la possibilité d’essayer le vélo sur la durée, des exercices de maniabilité à petite vitesse sur un parking devraient déjà vous donner une petite idée, tout comme le lâcher de guidon. 

BH CORE : Jusqu’à 220 km d’autonomie !

Avec un poids à partir de 12,6 kg, le BH Core bénéficie d’un type de construction identique à celui des vélos de route haut de gamme de la marque, avec le même niveau d’intégration et de travail aérodynamique sur les tubes. Doté d’origine d’une batterie parfaitement intégrée de 540 W/h qui offre déjà 165 km d’autonomie, il peut bénéficier d’une batterie traditionnelle XPro qui offre 180 W/h supplémentaires, pour un total de 220 km d’autonomie. Du jamais vu à ce niveau ! L’autre avantage du BH Core, c’est son moteur central extrêmement compact, qui offre des sensations de pédalage naturelles tout en abaissant le centre de gravité du vélo pour conserver une maniabilité idéale.

Core Carbon Race 1.9 PRO – Shimano Dura-Ace Di2 – Roues BH Evo C50 Carbon TR : 8999,90 €
Core Carbon Race 1.8 PRO –
Shimano Ultegra Di2 – Roues FSA Trimax 35 TR : 6999,90 €
Core Carbon Race 1.6 PRO –
Shimano Ultegra – Roues FSA Trimax 35 TR : 5499,90 €
Core Alu Race 1.4 –
Shimano 105 – Roues FSA Trimax 35 TR : 3999,90 €
Core Alu Race 1.2 –
Shimano 105 – Roues RS171 TR : 3699,90 €

Contact : bhbikes.com/Core

4. Les commandes de l’assistance :

Plus ces dernières sont visibles, accessibles et manipulables automatiquement ou mieux encore sans quitter la route des yeux, mieux c’est. À ce titre, un boitier de commande déporté sur le guidon permettra de conserver les deux mains sur le poste de pilotage, alors que des commandes intégrées sur le tube supérieur obligeront le cycliste à lâcher une main, et souvent à baisser les yeux. Double risque…

La plupart du temps, les commandes offrent également une lecture de l’autonomie restante de la batterie. Attention cependant, car à l’instar de nombreux appareil électroniques, les barrettes ou les pourcentages indiqués, semble descendre plus rapidement lors des derniers 50 % que lors des premiers.

5. L’autonomie :

C’est un point essentiel pour les utilisateurs de vélos à assistance électrique. Soyons clairs, ne vous attendez pas à avoir une autonomie qui vous évite de recharger après chaque utilisation. Ou alors, c’est que vous ne roulez pas beaucoup. Si c’est le cas, il y aura bien meilleur choix pour vous qu’un vélo de route sportif à assistance électrique.

Un moteur central permet d’abaisser le centre de gravité du vélo.

Les autonomies proposées vont de 250W/h pour Fazua et E-bike Motion à un peu plus de 600W/h pour certains modèles Bosh, et même 720W/h pour BH. Shimano se situant entre les deux avec 500W/h. Specialized, de son côté, a opté pour une batterie de 320W/h qui tout comme E-bike Motion peut être secondée par une batterie additionnelle qui se place dans un porte-bidon offrant 250W/h supplémentaires.

Si vous êtes un cycliste qui a opté pour un vélo à assistance électrique pour une aide intermittente, comme par exemple dans les ascensions les plus difficiles, avec de telles capacités vous pouvez aller très, très loin. Il m’est personnellement arrivé de faire près de 250 km et 3500 m de D+ sur parcours vallonnés avec une seule charge de 250 w/h. Si en revanche vous êtes plutôt sur un parcours alpin, avec des cols où vous êtes en permanence en prise sur des pentes de 8 % et plus, ne vous attendez pas à faire plus de 2500 m de D+. Ces conditions sont gourmandes en énergie… sans moteur aussi d’ailleurs !

6. L’esthétique :

Epineux sujet que celui-ci. Oui, avouons-le, nous cyclistes aimons les belles choses, celles qui en appellent à nos sens. Nous aimons tourner la tête pour nous admirer dans les vitrines, nous aimons nous complimenter sur nos machines, nous aimons montrer nos jambes veinées comme les pattes d’un pur-sang, nous aimons porter du “S” alors que nous taillons du “M”. Un vélo de route se doit d’avoir un pedigree. Un vélo de route se doit d’être racé.

CANNONDALE SUPERSIX EVO NEO : Très proche du SuperSix Evo

Très proche visuellement et en termes de comportement que son homologue SuperSix Evo « musculaire », le Cannondale SuperSix Evo Neo s’avance à partir de 11,3 kg en haut de gamme, et jusqu’à un peu plus de 12,5 kg pour sa version la plus accessible. C’est un vélo sportif et minimaliste avec son moteur E-Bike Motion X35 situé dans le moyeu arrière, qui apporte une assistance douce mais avec un couple maximal autour de 16 à 18 km/h, ce qui se révèle idéal pour affronter les pentes les plus abruptes sans avoir à puiser dans les réserves. L’autonomie donnée pour un peu plus de 100 km avec une batterie de 250 W/h est compensée par un poids léger qui devrait permettre de se passer d’assistance dans de nombreuses situations.

SuperSix Evo Neo 1 – Shimano Dura-Ace Di2 – Roues HollowGram 45 KNOT – Prix : 9499 €
SuperSix Evo Neo 2 – Shimano Ultegra – Roues Cannondale RDe 1.0 – Prix : 5499 €
SuperSix Evo Neo 3 – Shimano 105 – Roues Cannondale RDe 1.0 – Prix : 4299 €

Contact : cannondale.com/SuperSix Evo Neo

Nous sommes chanceux car ces dernières années, les verrues énergétiques ont disparu de nos machines électrifiées. Exit les blocs popularisés par Bosch et clipsés sur le tube diagonal qui vous montraient du doigt. La batterie est désormais intégrée. Les tubes diagonaux font montre d’un tour de taille un poil plus généreux, mais visuellement acceptable.

Si toutefois vous cherchez la plus grande discrétion possible et n’assumez encore pas complètement le petit coup de boost, votre champion sera le E-bike Motion avec son moteur intégré dans le moyeu de la roue arrière, uniquement décelable par les “suceurs de roue”. Nous nous rapprochons des canons de beauté généralement admis.

7. La connectivité :

Certains systèmes offrent quelques bonus. Des applications par exemple permettant de paramétrer l’assistance en fonction de critères personnels. Specialized, BH ou Shimano par exemple offrent la possibilité de choisir à la fois la puissance maximale délivrée et le pourcentage d’assistance délivré en plus de votre puissance musculaire. Vous pouvez par exemple personnaliser votre moteur pour que celui-ci ne fournisse pas plus de 50 % de puissance additionnelle, avec une limite max de puissance que vous fixez vous même. Si vous roulez avec une puissance musculaire de 100 watts, le moteur vous rajoutera 50 watts. Si en revanche, vous roulez en fournissant 150 watts, le moteur vous assistera avec 75 watts de plus, pour un total de 225 watts. Mais si en revanche vous avez réglé le moteur pour ne pas aller au delà de 200 watts d’assistance, celui-ci ne vous fournira pas les 75 watts, mais juste 50 watts.

Certaines batteries additionnelles sont très discrètes et permettent de prolonger nettement l’autonomie de l’assistance.

Les réglages sont infinis et offrent de belles possibilités pour ceux qui désirent utiliser le vélo comme outil d’entrainement. Pour ceux qui parmi vous ont moins de velléités de progression, mais veulent plus de tranquillité d’esprit, il est également possible de rentrer le parcours dans l’application et de laisser l’assistance se gérer automatiquement pour être sûr de ne pas se retrouver en “cale sèche” avant le retour à la maison, qui bien entendu se trouve au sommet d’une belle bosse.

Du côté de E-bike Motion, il est possible de connecter l’assistance au cardio-fréquencemètre et de régler l’intervention et le niveau de l’assistance en fonction de la fréquence cardiaque. Là encore une fonction intéressante pour mieux contrôler son effort, que cela soit pour l’athlète en recherche de progression, ou pour le cycliste ne désirant pas dépasser des seuils d’effort importants pour raisons médicales.

Shimano enfin, avec son système STEPS E8000 offre l’intégration avec les commandes Di2. Il est donc possible de commander le moteur et l’assistance à partir des commandes de frein et de changement de vitesses, ce qui en fait, sinon le plus intégré visuellement, le plus intégré d’un point de vue technologique.

8. Demain :

Nous n’en sommes qu’aux balbutiement du vélo à assistance électrique et ces machines vont devenir de plus en plus sophistiquées. Les paramètres mécaniques, électroniques, bio-mécaniques et physiologiques seront bientôt complètement pris en compte par l’intelligence artificielle des systèmes. Certains y verront une raison de se mettre au vélo, d’autres rejetteront ces évolutions. Elles seront cependant inéluctables, feront de notre sport une pratique moins exclusive, et l’on ne peut que s’en réjouir.

Le lexique du VAE 

  • Watts

Il s’agit de la puissance que fournit le moteur. On parle des mêmes watts pour exprimer la puissance que fournit le cycliste. Avec un moteur de 250 watts, un cycliste en forme, capable de fournir une puissance de 250 watts sur une heure peut théoriquement rivaliser avec un pro sur une ascension de col en fournissant 500 watts en cumulant sa puissance avec celle du moteur.

  • Watts/heure

Il s’agit de la capacité de la batterie, en vulgarisant, de la taille du réservoir. Les capacités vont de 250W/h à 720W/h, plus la possibilité de s’équiper de batteries additionnelles.

  • Couple

Plus technique, la valeur de couple va déterminer la puissance mécanique du moteur, elle se quantifie en newtons/mètres. Là cela devient technique… mais sachez que plus le couple sera élevé, plus le moteur sera puissant. Imaginez la différence de puissance ressentie par un moteur Diesel en comparaison à un moteur essence, en particulier à bas régime.

  • Niveau d’Assistance

Les types d’assistance à votre disposition. Généralement au nombre de trois, parfois complétés par une assistance à la marche à côté du vélo. Ces niveaux sont commandés par une console, soit positionnée au guidon, soit intégrée au cadre, ou encore intégrés dans les commandes traditionnelles de changement de vitesses.

  • Autonomie

Selon les marques, cette dernière est exprimée en kilomètres ou en dénivelé.

  • Cadence optimale

Il s’agit de la fenêtre optimale de rendement du moteur exprimée en nombre de tours de pédale par minute. Comme pour les moteurs de voiture, il existe une zone de fonctionnement optimale pour laquelle le moteur donne son plein rendement sans trop se fatiguer.

  • Temps de charge

Souvent ignoré, ce critère indique le temps de recharge de votre batterie. Ce critère est important si vous désirez voyager au long cours avec votre vélo. La plupart des chargeurs proposent un temps de charge de 3 h à 3 h 30 pour une charge complète de 0 à 100 %, certains sont parvenus à abaisser cette durée à 2 h 30 environ. À noter que la charge de 0 à 80 % prend généralement à peine plus que la moitié du temps requis pour le 0 à 100 %.

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Guillaume Judas

  - 53 ans - Journaliste professionnel depuis 1992 - Coach / Accompagnement de la performance - Ancien coureur Elite - Pratiques sportives actuelles : route & allroad (un peu). - Strava : Guillaume Judas

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3 commentaires sur “Les critères pour choisir un bon vélo de route électrique

  1. Bonjour,

    Merci pour cet article très intéressant. Pratiquant le gravel sur mon Felt Broam 30 et avec des problèmes d’hypertension je me trouve contraint de changer de monture pour un gravel équipé d’une assistance pour limiter mon cardio à 140 bpm. La motorisation X35 semble être la seule à proposer cette possibilité. Pouvez-vous confirmer ?
    Je précise que je souhaite une intervention de l’assistance uniquement lorsque mon palpitant monte trop dans les tours.
    Merci d’avance pour vos réponses

    1. Bonjour,
      A notre connaissance, seul le système CBT Italia permet de gérer l’assistance électrique selon le niveau de la fréquence cardiaque. Cela ne doit pas être le cas avec la motorisation Mahle, à moins que nous ayons manqué quelque chose.
      Cordialement

  2. Bonjour,
    Personnellement, cette motorisation m’a permis de gagner sur des parcours identiques et rythmes similaires, en moyenne 10-15% sur mon rythme cardiaque. J’ai mis une alerte sur mon cardio.
    Cordialement.

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